SELECTION: ROCK METAL

DIRTY SOUND MAGNET
Après 10 années de répétitions intenses et deux albums, Dirty Sound Magnet ont commencé à rejeter les clichés et stéréotypes habituels du rock. Leur immersion totale dans la musique et leur inspiration grandissante les ont amenés à créer un nouveau genre : Creative Rock. La musique est au cœur, les possibilités sont infinies. Chaque composition bénéficie d’une approche et d’arrangements très différents. L’instrumentation et l’attitude sont rock mais la musique, elle, vient d’ailleurs – un ailleurs encore jamais révélé…

L’album Western Lies est un projet auto-produit. Durant un an, le groupe s’est isolé du monde extérieur dans le studio qu’ils ont monté de toutes pièces pour créer leur propre son. Le résultat de ces expérimentations sonores est un album unique. Les compositions, le son et l’ambiance générale de Western Lies en font un album inclassable. Disons qu’il s’agit de Creative Rock, Mystic Rock ou Neo Rock.

JOHN GAILO
Il est malheureusement déjà mort, ce vieux casse-cou du rock. Il est temps pour une transplantation d’organes. JOHN GAILO prend des raisins et balance de l’électricité dans les tissus. Il y a les poumons, les œufs et une ou deux jambes pour que Frankenstein se lance sur la piste de danse. La claque idéale pour le public qui souffre d’ennui idéologique.

JOHN GAILO chute dans un pantalon serré et des masques blancs qui sortent de la boîte de genre, tout en sprayant « pinkrock » partout.

Une hanche se balance vers les guitares électriques, tandis que des anges prétentieux chantent le tonnerre à fleur de peau. La tête marque le rythme de la basse qui se précipite avec élégance dans les interstices de la grosse caisse, avec un grand coup de pied dans l’échine de l’exploit qu’est le grand slam.

JOHN GAILO
Il est malheureusement déjà mort, ce vieux casse-cou du rock. Il est temps pour une transplantation d’organes. JOHN GAILO prend des raisins et balance de l’électricité dans les tissus. Il y a les poumons, les œufs et une ou deux jambes pour que Frankenstein se lance sur la piste de danse. La claque idéale pour le public qui souffre d’ennui idéologique.

JOHN GAILO chute dans un pantalon serré et des masques blancs qui sortent de la boîte de genre, tout en sprayant « pinkrock » partout.

Une hanche se balance vers les guitares électriques, tandis que des anges prétentieux chantent le tonnerre à fleur de peau. La tête marque le rythme de la basse qui se précipite avec élégance dans les interstices de la grosse caisse, avec un grand coup de pied dans l’échine de l’exploit qu’est le grand slam.

L’ARBRE BIZARRE
Fondé en 2010, ce quintette bâlois utilise le post punk comme un melting pot pour d’autres influences musicales tels que le noise, grunge, post rock, rock psychédélique et shoegaze. Cette nouvelle approche donne lieu à des chansons imprévisibles, surprenantes et multidimensionnelles, un peu comme les branches d’un vieil arbre tordu dans le brouillard de la tombée de la nuit. Avec leur second EP DISTORTED REFLECTIONS (2014), le groupe a trouvé son propre son. Le premier album à part entière BOKEH (2016) est le résultat de l’engagement ferme du groupe à leur propre parcours musical et devient par conséquent un disque dynamique et hautement varié qui réussit tout de même à témoigner de l’énergie joyeuse de leurs shows ‘live’. L’ARBRE BIZARRE a déjà eu l’occasion de jouer avec des artistes internationaux tels que A PLACE TO BURY STRANGERS (USA) et FÖLLAKZOID (CHL).
SONS OF MORPHEUS
Sons of Morpheus sont encore plus dynamiques plus profonds  en 2017. Leur musique devient plus sinistre et plus explosive à la fois. Est ce parce que cette fois le célèbre David Weber technicien-chef du légendaire festival de Montreux était aux manettes de la production, lui qui avait aussi promis pour l’éternité, la musique forte et bouillonnante des Duster Rocker Suisses The Young Gods? Ou bien est ce peut être un peu dû au monde où nous vivons aujourd’hui?

Quoiqu’il en soit: sur  » Nemesis » les Sons of Morpheus réunissent l’abondance et la liberté des années 70, l’âge d’or de la musique de guitare avec l’incertitude du moment. La motivation, comme on le ressent, est restée intacte depuis des années: l’envie de monter l’ampli en puissance et faire trembler les murs et que le plus bruyant sera le mieux.

JOHN GAILO
Sons of Morpheus sont encore plus dynamiques plus profonds  en 2017. Leur musique devient plus sinistre et plus explosive à la fois. Est ce parce que cette fois le célèbre David Weber technicien-chef du légendaire festival de Montreux était aux manettes de la production, lui qui avait aussi promis pour l’éternité, la musique forte et bouillonnante des Duster Rocker Suisses The Young Gods? Ou bien est ce peut être un peu dû au monde où nous vivons aujourd’hui?

Quoiqu’il en soit: sur  » Nemesis » les Sons of Morpheus réunissent l’abondance et la liberté des années 70, l’âge d’or de la musique de guitare avec l’incertitude du moment. La motivation, comme on le ressent, est restée intacte depuis des années: l’envie de monter l’ampli en puissance et faire trembler les murs et que le plus bruyant sera le mieux.

THE LAST MOAN
The Last Moan est un duo blues/rock composé d’Igor (voix/guitare) et Gaëtan (batterie). C’est au volant d’une Ford Thunderbird que leur musique vous transporte dans un espace-temps parallèle où vous rencontrerez l’esprit de Robert Johnson dynamité par la puissance sulfureuse du rock’n’roll. La force envoûtante de leurs mélodies émane telle un shaman qui emmène votre âme vers les recoins sombres et poussiéreux du Mississippi. Préparez-vous à prendre la route avec The Last Moan, un voyage dont vous ne reviendrez pas indemne…