L’album Western Lies est un projet auto-produit. Durant un an, le groupe s’est isolé du monde extérieur dans le studio qu’ils ont monté de toutes pièces pour créer leur propre son. Le résultat de ces expérimentations sonores est un album unique. Les compositions, le son et l’ambiance générale de Western Lies en font un album inclassable. Disons qu’il s’agit de Creative Rock, Mystic Rock ou Neo Rock.
JOHN GAILO chute dans un pantalon serré et des masques blancs qui sortent de la boîte de genre, tout en sprayant « pinkrock » partout.
Une hanche se balance vers les guitares électriques, tandis que des anges prétentieux chantent le tonnerre à fleur de peau. La tête marque le rythme de la basse qui se précipite avec élégance dans les interstices de la grosse caisse, avec un grand coup de pied dans l’échine de l’exploit qu’est le grand slam.
JOHN GAILO chute dans un pantalon serré et des masques blancs qui sortent de la boîte de genre, tout en sprayant « pinkrock » partout.
Une hanche se balance vers les guitares électriques, tandis que des anges prétentieux chantent le tonnerre à fleur de peau. La tête marque le rythme de la basse qui se précipite avec élégance dans les interstices de la grosse caisse, avec un grand coup de pied dans l’échine de l’exploit qu’est le grand slam.
Quoiqu’il en soit: sur » Nemesis » les Sons of Morpheus réunissent l’abondance et la liberté des années 70, l’âge d’or de la musique de guitare avec l’incertitude du moment. La motivation, comme on le ressent, est restée intacte depuis des années: l’envie de monter l’ampli en puissance et faire trembler les murs et que le plus bruyant sera le mieux.
Quoiqu’il en soit: sur » Nemesis » les Sons of Morpheus réunissent l’abondance et la liberté des années 70, l’âge d’or de la musique de guitare avec l’incertitude du moment. La motivation, comme on le ressent, est restée intacte depuis des années: l’envie de monter l’ampli en puissance et faire trembler les murs et que le plus bruyant sera le mieux.