SELECTION: POP INDIE FOLK SONGWRITING

BRANDY BUTLER AND THE BROKENHEARTED
Après 20 années passées à travailler pour d’autres artistes en tant que musicienne complète, Brandy Butler a enfin décidé de faire cavalier seul. Son premier album en solo est la déclaration d’une anticonformiste. Avec une honnêteté désarmante et une vulnérabilité émotionnelle que l’on a rarement l’occasion de voir dans la musique d’aujourd’hui, Mlle Butler met à profit son dynamisme et ses talents de conteuse pour raconter une histoire cathartique, une histoire d’amour non partagée. La performance est brute, sincère et pure. Des attributs habituellement perçus comme une faiblesse qui se traduisent, chez Mlle Butler, en une prouesse incroyablement puissante.
ODD BEHOLDER
Daniela Weinmann, compositrice et chanteuse, et James Varghese, producteur et instrumentiste, ont sorti leur premier EP « Lighting » à l’international en septembre 2016, EP qui a été bien accueilli. Ils ont été invités à se produire au Bad Bonn Kilbi, au Reeperbahn Festival (« Best of Showcases »), au M4Music Festival et au Great Escape. Leur premier single, « Landscape Escape », est devenu un hit underground sur Spotify (950’000 vues). Le clip du single, tourné en Azerbaïdjan et dans lequel figure une danse traditionnelle, a remporté le prix « Best Swiss Video Clip » en 2017. Sub Pop a ajouté le titre « Young Knife » à la playlist du staff. Cette année, Odd Beholder a sorti son second EP « Atlas ». Leur tournée les a emmenés en Allemagne et en Autriche à deux reprises avec HUNDREDS. Le clip de la chanson « Coins » a été présenté pour la première fois sur le blog d’art international NOWNESS et leurs titres passent sur les plus grandes stations de radio de Suisse.

ODD BEHOLDER
Daniela Weinmann, compositrice et chanteuse, et James Varghese, producteur et instrumentiste, ont sorti leur premier EP « Lighting » à l’international en septembre 2016, EP qui a été bien accueilli. Ils ont été invités à se produire au Bad Bonn Kilbi, au Reeperbahn Festival (« Best of Showcases »), au M4Music Festival et au Great Escape. Leur premier single, « Landscape Escape », est devenu un hit underground sur Spotify (950’000 vues). Le clip du single, tourné en Azerbaïdjan et dans lequel figure une danse traditionnelle, a remporté le prix « Best Swiss Video Clip » en 2017. Sub Pop a ajouté le titre « Young Knife » à la playlist du staff. Cette année, Odd Beholder a sorti son second EP « Atlas ». Leur tournée les a emmenés en Allemagne et en Autriche à deux reprises avec HUNDREDS. Le clip de la chanson « Coins » a été présenté pour la première fois sur le blog d’art international NOWNESS et leurs titres passent sur les plus grandes stations de radio de Suisse.

ONE SENTENCE. SUPERVISOR
Sturm und Drang à Baden. Le jeune groupe One Sentence. Supervisor ne prend pas le temps de respirer.
Sur scène, la section rythmique basse-batterie tire toujours plus loin leur kraut – pop, provoquant au sein du public des mouvements nerveux du genou et
des verres qui se renversent. En contraste à cela, les lignes de guitare flottent dans l’espace et enveloppent des lignes vocales pertinentes. Le deuxième album de One Sentence. Supervisor est un disque pop aux hymnes psychédéliques et aux messages politiques forts.
TATUM RUSH
Né à San Diego en 1989, vivant à Lausanne/Lugano et travaillant entre Milan et Paris, Tatum Rush est un artiste tessinois qui associe musique, performance et vidéo.

 

Sa musique pop aussitôt séduisante et son personnage de reptile-disco surgissent tard dans la nuit, dans le brouillard d’une impasse, tels les zombies de Thriller. On peut aussi le trouver affalé sur un canapé, chaussons d’hôtel aux pieds, en train de lire Dostoïevski et de siroter du rosé.

 

Son premier album « Guru Child », sorti en 2015, a eu d’excellentes critiques. Des artistes internationaux participeront à son prochain disque Mini Girls, dont la légendaire Zap Mama. Tatum collabore avec des artistes tels que Richard Dorfmeister, Aeed, Bauchamp, Domi Chansorn et Ceri. Ses performances, définies par la présence de son entourage, sont autant compatibles avec un club underground newyorkais qu’un mariage aristo sur le toit d’un immeuble à Dubaï.

TATUM RUSH
Né à San Diego en 1989, vivant à Lausanne/Lugano et travaillant entre Milan et Paris, Tatum Rush est un artiste tessinois qui associe musique, performance et vidéo.

 

Sa musique pop aussitôt séduisante et son personnage de reptile-disco surgissent tard dans la nuit, dans le brouillard d’une impasse, tels les zombies de Thriller. On peut aussi le trouver affalé sur un canapé, chaussons d’hôtel aux pieds, en train de lire Dostoïevski et de siroter du rosé.

 

Son premier album « Guru Child », sorti en 2015, a eu d’excellentes critiques. Des artistes internationaux participeront à son prochain disque Mini Girls, dont la légendaire Zap Mama. Tatum collabore avec des artistes tels que Richard Dorfmeister, Aeed, Bauchamp, Domi Chansorn et Ceri. Ses performances, définies par la présence de son entourage, sont autant compatibles avec un club underground newyorkais qu’un mariage aristo sur le toit d’un immeuble à Dubaï.

YELLOW TEETH
Yellow Teeth, nom adopté par le songwriter Tiziano Zandonella en 2012, est un groupe dont la patine s’est faite à travers deux albums clés : «Night Birds » en 2014 et « Rags And Pearls » en 2016. Se réclamant d’un folk dépouillé mais travaillé, Yellow Teeth compose en gardant à l’esprit les origines de cette musique qui l’a bercé depuis l’enfance. Derrière une écriture musicale racée, on retrouve des textes dont la qualité littéraire a déjà été maintes fois saluée par les médias. Oscillant entre tradition et modernité, violence et fragilité, les mots et la musique ne font qu’un, laissant transparaître un soucis du détail certain.